Un homme politique pas cher
Après avoir, il y a quelques années, démarché les Français pour un sac de riz, Kouchner s’est aujourd’hui laissé convaincre d’aller à la soupe.
Comme quoi, pour acheter un homme politique, un portefeuille suffit.
Kouchner pourra donc maintenant reprendre à son compte, la parole d’Edgar Faure qui, en son temps, mangea à tous les rateliers de la République : " Ce ne sont pas les girouettes qui tournent, c’est le vent ! "